Peine d’amour gagnées, le Manuscrit de Tripoli

de Thierry Simon, Lansman Editeur

PEINES D’AMOUR PERDUES, LE MANUSCRIT DE TRIPOLI

est une commande d’écriture d’Unique & Compagnie à Thierry Simon.

Le spectacle a été créé les 9 et 10 avril 2015, chez notre co-producteur :

L’Espace Culturel de Vendenheim,dans le cadre du Festival Les Ephémères.


La 4ème de couverture de l'auteur

Mise en scène : Pascal Holtzer

Scénographie et costumes : Antonin Bouvret

Musique : Jean-Raymond Gelis et Pascal Holtzer

Lumière, régie générale et photos : Michel Nicolas

Graphisme : Laure Isenmann

avec

Jacques Bruckmann

Jean-Raymond Gelis

Jérôme Lang

Marc Schweyer


Création soutenue par la Spedidam

Peines d’amour gagnées, le Manuscrit de Tripoli, s’appuie sur une anecdote insensée, et pourtant bien réelle. Participant à sa manière à l’interminable débat sur l’identité du dramaturge britannique, le colonel Kadhafi prétendit dans les années quatre-vingt-dix que Shakespeare était en réalité un auteur d’origine  arabe, que son nom véritable était Cheikh Zubayr, et que son patronyme britannique relevait purement et simplement d’une imposture de l’Occident.

Quelque part au sud de la Méditerranée...

Alors qu'il se croit à l'aéroport du Caire, Peter Wallace, un éternel étudiant britannique, se réveille dans un espace confiné en compagnie de Muhammar, un pêcheur d'espadon, et de Serguej, ancien des forces spéciales de son pays, tous deux reconvertis en gardiens de cellule par les aléas de la vie.

C'est dans cet espace reclus, baignant dans un univers musical oriental, qu'arrive Omar, fonctionnaire consciencieux aux ordres du régime en place.

Et une commande.

Omar informe Peter que celui-ci dispose de quatre jours et quatre nuits. Quatre jours et quatre nuits pour écrire une pièce perdue de Shakespeare. Sinon...

Mais comment faire, avec trois bouts de ficelle, un pêcheur d'espadon retors et un vétéran de la sécurité plus à l'aise dans la langue d' Eltsine que dans celle de  Pouchkine ?

Et puis, à convoquer impunément les figures shakespeariennes, on finit par en voir la...ou bien le...enfin, plus exactement les...